L’impact réel des investissements que nous réalisons grâce à nos coopérateurs est au centre de notre démarche. Nous avons à cœur de mesurer cet impact avec rigueur. Voilà pourquoi nous nous rendons sur le terrain pour écouter ce que nous disent les bénéficiaires finaux, afin de mieux comprendre comment notre action améliore leur quotidien. Cette année, nous avons recueilli 60 récits de producteurs de café de Nyamurinda, petite entreprise agricole au Rwanda.
L’impact réel des investissements que nous réalisons grâce à nos coopérateurs est au centre de notre démarche. Nous avons à cœur de mesurer cet impact avec rigueur. Voilà pourquoi nous nous rendons sur le terrain pour écouter ce que nous disent les bénéficiaires finaux, afin de mieux comprendre comment notre action améliore leur quotidien. Cette année, nous avons recueilli 60 récits de producteurs de café de Nyamurinda, petite entreprise agricole au Rwanda.
Fondée en 2016 par deux soeurs, Immaculée Mukamana et Francine Nyiramana, Nyamurinda traite et vend aujourd’hui la production de plus de 1.400 cultivateurs de café, principalement des femmes. « Nous avons mis l’accent sur les femmes, pour les encourager à créer leur propre emploi et à contribuer au budget de leur ménage », explique Immaculée.
« Le café est une activité qui demande pas mal d’argent. Alterfin est aujourd’hui notre unique prêteur : sans eux nous aurions eu de grosses difficultés à réunir le capital nécessaire. Avec leur soutien, nous savons que nous pourrons acheter et payer le café à temps. La confiance d’Alterfin a renforcé notre crédibilité auprès des acheteurs internationaux, ce qui était crucial pour notre développement. »
Immaculée Mukamana, co-fondatrice de Nyamurinda
Les témoignages montrent que l’action de Nyamurinda va au-delà du simple partenariat commercial : formation et conseils par des agronomes, semences et intrants pour améliorer le rendement, et un soutien financier sous forme d’avances pour les situations difficiles.
« Nyamurinda est ma famille. Ce sont des gens que je vois tous les jours, avec qui je vis. Nous parlons ensemble de la manière dont nous travaillons, et nous nous confions quand nous avons des problèmes. Les avances me permettent de payer à temps les ouvriers qui travaillent dans les plantations. L’an dernier, j’ai produit 8 tonnes de café. Cette année, je veux en produire 13 ! »
« Quand nous avons besoin d’argent avant le début de la saison, il suffit de demander et Nyamurinda nous l’accorde. Cela nous permet par exemple de scolariser nos enfants. Nous sommes une vraie famille. Nyamurinda ne cherche pas que son propre bénéfice, elle soutient toute la communauté. »
« L’entreprise appartient à des femmes, travaille avec de nombreuses cultivatrices et emploie des femmes à l’usine. Pour nous, les femmes, c’est une bénédiction. Nous avons appris à préparer des engrais naturels pour nos plantes. Nos plantations sont aujourd’hui en meilleure santé et nos récoltes sont meilleures. »
« Nyamurinda est ma famille. Ce sont des gens que je vois tous les jours, avec qui je vis. Nous parlons ensemble de la manière dont nous travaillons, et nous nous confions quand nous avons des problèmes. Les avances me permettent de payer à temps les ouvriers qui travaillent dans les plantations. L’an dernier, j’ai produit 8 tonnes de café. Cette année, je veux en produire 13 ! »
« Quand nous avons besoin d’argent avant le début de la saison, il suffit de demander et Nyamurinda nous l’accorde. Cela nous permet par exemple de scolariser nos enfants. Nous sommes une vraie famille. Nyamurinda ne cherche pas que son propre bénéfice, elle soutient toute la communauté. »
« L’entreprise appartient à des femmes, travaille avec de nombreuses cultivatrices et emploie des femmes à l’usine. Pour nous, les femmes, c’est une bénédiction. Nous avons appris à préparer des engrais naturels pour nos plantes. Nos plantations sont aujourd’hui en meilleure santé et nos récoltes sont meilleures. »
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